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L'Eure-et-Loir, vu d'en haut

Rédaction

Hors-Série

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Découvrez les richesses du département de l'Eure-et-Loir en prenant de la hauteur. Dans ce hors-série, riche de photographies aériennes, partez en voyage dans de magnifiques paysages.

12,50 €

 

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Fiche détaillée

  • Auteur : Rédaction
  • Editeur : CF - L'Écho républicain
  • Date de parution : Décembre 2025
  • Genre : Patrimoine - Histoire - Art de vivre
  • Langue : Français
  • Format : 22 x 28.6
  • Pages : 116

À propos

 Synopsis

Le plat pays qui est le nôtre, Brel aurait aussi pu le chanter, pour évoquer ces champs qu’aucun obstacle n’arrête, déployés à perte d’horizon.
Ce plat pays qui est le nôtre, à hauteur d’homme, semble comme écrasé par la pesanteur de son ADN paysan, comme boulonné à sa condition de grenier de la France.
Mais ce plat pays qui est le nôtre, à hauteur d’oiseau, s’affranchit soudain de ses amarres et offre un relief et des perspectives jusqu’alors insoupçonnés.
Vu d’en haut, le parcellaire de Beauce devient cette mosaïque ondulante, piquetée ici et là d’éoliennes, qui exprime la synthèse entre l’héritage du monde rural et les énergies renouvelables de demain.
Vus d’en haut, Notre-Dame de Chartres et les châteaux remarquables d’Eure-et-Loir, vénérables sentinelles du territoire, semblent comme libérés de l’attraction terrestre et dressent leurs flèches et girouettes jusqu’à accrocher les nuages : trait d’union entre terre et ciel.
Vus d’en haut, villes et villages de Beauce, du Drouais, du Dunois et du Perche, érigés en bordure des chemins ou le long des rivières, parfois à fleur de coteau, racontent l’identité d’un pays de fermiers, qui s’est construit autour de la ressource en eau, des routes commerciales, sur d’inexpugnables promontoires.
L’exemplaire de « L’Eure-et-Loir vu d’en haut » que vous tenez entre vos mains est bien davantage qu’une simple visite patrimoniale ou nostalgique, embarquée dans l’objectif d’un drone, à 200 m au-dessus du sol.
C’est un pas de haut, une ode en surplomb, à cette beauté cachée et perchée de ce plat pays qui est le nôtre.
Et qu’un autre baladin, Ardéchois d’adoption et poète des massifs, aurait tout aussi bien pu chanter : « Pourtant, que la plaine est belle ».

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