Éditions Mon Poche

La Demoiselle ​ de la Poste​ Les Chroniques de Fogas T.3

Julia Chapman

4 (1 avis)

LE BUREAU DE POSTE​ D’UNE PETITE COMMUNE DES PYRÉNÉES BRÛLE ET BIENTÔT C’EST TOUT LE VILLAGE​ QUI EST EN ÉMOI…

9,38 €

 

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Fiche détaillée

  • Auteur : Julia Chapman
  • Editeur : CF - Centre France
  • Date de parution : 16 janvier 2025
  • Genre : Romans
  • Format : 10.9 x 17.8
  • Pages : 512

Préface

Branle-bas de combat dans un village ariégeois !

Depuis l’incendie qui a détruit son bureau, Véronique, la demoiselle de la poste, est au chômage technique. Et, jusqu’à présent, ses réclamations pour l’ouverture d’un nouveau local demeurent sans réponse. Qu’à cela ne tienne, Véronique ne baissera pas les bras. Son emploi et la commune de Fogas sont en jeu !

Mais le village est accaparé par un problème de taille : la réintroduction des ours dans la région. Difficile de se faire entendre pour la préposée des postes… Et si les habitants de Fogas se trompaient de combat ?

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Avis

Par le 08 Fév. 2025 (La Demoiselle ​ de la Poste​ Les Chroniques de Fogas T.3) :
(4/5

Quand un roman nous parle de l’ours dans les montagnes ariègeoises…


Fogas ? Un village pyrénéen où depuis l'incendie qui a détruit son bureau, Véronique, la demoiselle de la Poste, est au chômage technique. Mais que peut-elle faire quand un problème encore plus grand agite le village : un animal sauvage tue moutons et brebis. Quel combat mener ? Qui gagnera et amènera la paix ?
J’ai lu et chroniqué les deux premiers romans de la série « Les chroniques de Fogas» et j’ai pris goût à cette immersion dans les contrées rudes et sauvages au pied des Pyrénées. L’écriture de Julia Chapman est en parfaite harmonie avec le mélange sucré/acide des tempéraments des villageois. Elle est bienveillante, sage et parfois piquante ou très humoristique.
Quand se dit tout haut ce que pensent beaucoup de ceux qui ne sont pas les éleveurs dédommagés, on se doute que l’auteure a mené une vraie enquête avant de trouver la trame de son roman. Et que la recherche du bureau de poste n’est que détail par rapport au vrai malaise qui rudoie ces territoires.
Chez la coiffeuse, la séquence est pleine d’humour et de vérité. Les causeries entre les villageois sont décrites au plus juste, c’est savoureux. Et j’ai glané de bons renseignements sur les cols autour de Seix, le chien d’ours de Carélie et le bethmale, jusque-là inconnus.
Quant à Jacques, le spectre qui voit tout mais n’est compris que par sa veuve et Chloé, je me serais ennuyée si je ne l’avais pas retrouvé. Tous les personnages sont attachants car rivés à leur terre et prêts à la défendre jusqu’au bout, hommes comme animaux. La lecture est légère mais pleine d’émotion, dépaysante et addictive car le suspense s’installe très vite.
Je ne peux que vous encourager à partir en balade du côté du Mont Valier, le géant de l’Ariège, et à devenir fidèle lecteur de Julia Chapman.
Je remercie Mon poche et Virginie pour le service de presse non rémunéré de « La demoiselle de La Poste ».

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