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Michel Lacombe
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Le métier de couturière en ville et le quotidien dans un café de village
Une héroïne altruiste, généreuse et volontaire, qui obéit sans courber l’échine et s’affirme peu à peu
Le travail des femmes dans les années 1920 et l’arrivée de la modernité en zone rurale

Romans, beaux-livres, papeterie... à découvrir

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Fiche détaillée
Préface
À bientôt 20 ans, il est grand temps pour Jeanne d’enfin travailler. En revanche, hors de question pour elle de seconder ses parents au café du village ! Elle ira donc apprendre le métier de couturière à Saint-Étienne. Faisant très rapidement montre d’un talent certain, Jeanne semble alors destinée à une belle carrière. Mais pour cette amoureuse des grands espaces et de l’air pur, impossible de s’habituer à la ville, à la pollution et au bruit permanent ! Retrouver ses montagnes devient sa priorité. Et un événement inattendu pourrait bien lui en donner l’occasion.





Quand un roman nous laisse penser que la ville ne convient pas à tous…
Jeanne a bientôt vingt ans et jouit de la liberté de pouvoir vagabonder plutôt que de seconder ses parents dans la tenue du café du village. Cela ne peut pas durer et elle part à la ville apprendre le métier de couturière. Douée, elle est incitée à croire en une belle carrière. Mais pour cette amoureuse des grands espaces et de l’air pur, la ville est un éteignoir. Pourra-t-elle retrouver sa vie d’avant ? Est-elle condamnée à vivre en ville pur devenir indépendante ? Un évènement inattendu prendra le pas sur sa volonté.
Signaler un abusNous sommes au début du vingtième siècle du côté de Givors, ville enserrée entre les monts du Lyonnais, au nord et à l'ouest, et les contreforts du Pilat. L’auteur nous immerge à la fois dans la vie très prenante d’un bar en campagne et d’une maison de couture en ville. C’est Jeanne qui se meut dans ces deux mondes très opposés.
Michel Lacombe aime mettre en scène des êtres passionnés, traçant leur chemin, secouant les jougs, surtout quand ce sont des femmes. L’héroïne de ce roman en est une, obéissante envers son père et sa famille, mais traversée par des désirs d’indépendance qui lui feront choisir sa vie. Grâce à elle, nous allons pénétrer les arcanes des ateliers des coutures, leurs servitudes mais aussi, le dimanche, le danger pour les jeunes filles de côtoyer les jeunes hommes riches, sans foi ni loi.
Nous découvrons aussi la vie des hommes frustes de la campagne et le réconfort qu’ils trouvaient dans les bars, nombreux à cette époque. C’est avec vigueur que l’auteur évoque les lois qui y règnent : l’entraide surtout face à l’étranger.
Ce roman se lit en toute simplicité, sans suspense haletant mais avec une curiosité pour tout : les gens, les métiers, la région. Et la sensation de bien pouvoir reconnaître les avantages gagnés lors du dernier siècle.
Je remercie Virginie Centre France pour son invitation de service presse et De Borée Editions pour l’envoi du broché « La Bistrotière ».